"Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, et je pourrai me glorifier au jour de Christ de n'avoir pas couru en vain, ni travaillé en vain." Philippiens 2:14-16

Ce qui réjouit pleinement le cœur d'un enseignant et encadreur, c'est l'assimilation des valeurs transmises, leur application pour des vies transformées. Jésus nous a appris que le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Il se rend disponible et reste volontaire pour enseigner et enseigner encore, jusqu'au plein affermissement. La répétition mère de l'enseignement requiert de l'amour pour son travail, de la patience et un esprit bien disposé. Au-delà du bien matériel, le vrai salaire du bon berger, ce qui lui donne le sentiment de ne pas courir ou de travailler en vain (comme souligne Paul dans cette adresse aux philipiens), c'est d'impacter des vies. C'est de voir des vies transformées. C'est d'avoir réussi à faire des créatures de Dieu errantes dans leur pèlerinage, la lumière du monde. Et même des visages de l'amour qui réchauffent les cœurs et marquent la différence positive d'avec les réalités de ce monde corrompu, froid, sombre et triste. Nous chrétiens avons à poser un cachet différent, pour que nos vies soient pour le Seigneur un parfum de bonne odeur.

Seigneur soutiens Tes envoyés dans le champ de mission. Donne que leurs œuvres et leur labeur quotidiens (qui semblent ennuyeux et même inutiles aux yeux du profane) Te glorifient pleinement. Il y'a de la joie au ciel pour une seule âme convertie nous dit la parole : Ô Père, bénis tout travail d'évangélisation et charge Toi de sa finalisation dans les cœurs. Par Jésus dont la mission a été efficace et parfaite pour le salut de l'humanité, Amen.

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